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Fleury / Bianchon pseud., Maurice de / Horace.
Paris, Félix Alcan, 1902.
Cote : 110133 vol. LIII n° 13.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
Nombre de réponses : 176 1-176
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Image : Fig. 1. Trépidation épileptoïde provoquée du pied. Dans cette figure, et dans les figures suivantes, la ligne inférieure indique les divisions de temps en secondes
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Image : Fig. 2. Trépidation épileptoïde provoquée du pied, entretenue par une traction uniforme (2 kilog.). L'amplitude des secousses est sensiblement égale / Fig. 3. Trépidation provoquée du pied. Le clonus est entretenu par la main d'un aide qui relève la plante du pied du malade. Les secousses sont d'inégale amplitude
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Image : Fig. 4. Trépidation provoquée du pied. Types de dicrotisme / Fig. 5. Trépidation provoquée du pied. Redoublement du nombre des secousses par suite de l'exagération du crochet intercalaire
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Image : Fig. 6. Inscription simultanée des mouvements de la jambe au niveau des muscles du mollet (ligne inférieure), et de la face antéro-interne du tibia (ligne supérieure)
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Image : Fig. 7. Trépidation dite spontanée du pied. Les secousses ont la même forme et la même fréquence que dans la trépidation provoquée / Fig. 8. Trépidation épileptoïde du pied, entretenue, en A par un poids de 2 kilog., en B par une traction de 5 kilog
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Image : Fig. 9. Arrêt spontané de la trépidation épileptoïde du pied. Les secousses diminuent d'amplitude, leur fréquence restant sensiblement uniforme / Fig. 10. Arrêt de la trépidation épileptoïde du pied par une traction forte (7 kilog. 500) exercée sur la plante du pied. Les secousses diminuent d'amplitude sans changer de rythme
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Image : Fig. 11. Trépidation rotulienne provoquée
Nombre de réponses : 176 1-176