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1916, n° 21, partie médicale. - Paris : J.-B. Baillière et fils, 1916.
Cote : BIUP P15196, 1916, n°21.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
Nombre de réponses : 628 1-250 page précédente
16 La ponction épigastrique de Marfan dans la péricardite rhumatismale avec épanchement, par le Dr P. Lereboullet
Image : Trajet du trocart dans la ponction épigastrique de Marfan (fig. empruntée au Dr Blechmann)
44 Résultats de quelques observations de laboratoire clinique faites dans une ambulance de l'avant sur le traitement abortif de l'infection des plaies de guerre, par le Dr René Gaultier. Exposé
Image : Fig. 1. - Dans une salle de bain, installation d'un laboratoire bactériologique de fortune dont le matériel tient dans une cantine ordinaire (microscope, ultra-microscope, centrifugeur, étuve, etc.)
47 Résultats de quelques observations de laboratoire clinique faites dans une ambulance de l'avant sur le traitement abortif de l'infection des plaies de guerre, par le Dr René Gaultier. Exposé
Image : Fig. 2. - Premier type : indice d'infection grave de la plaie / Fig. 3. - Deuxième type : indice d'infection moindre de la plaie / Fig. 4. - Troisième type : indice d'atténuation de l'infection de la plaie / Fig. 5. - Quatrième type : indice de désinfection pratique de la plaie
60 Colites ulcéreuses et proliférantes paratyphoïdiques, par le Dr F. Rathery. B. Colite paratyphoïdique B sans fièvre paratyphoïde proprement dite
Image : Fig. 2. - Cal..., - Ulcération atteignant la couche sous-séreuse / Fig. 3. - Gui..., - Épaississement considérable de la tunique colique ; productions nombreuses (grosses et petites tumeurs)
61 Colites ulcéreuses et proliférantes paratyphoïdiques, par le Dr F. Rathery. B. Colite paratyphoïdique B sans fièvre paratyphoïde proprement dite
Image : Fig. 4. - Coupe histologique des petites tumeurs de Gui... / Fig. 5. - Observation de Gui... ; coupe des grosses tumeurs
93 Mains de travail du Dr Boureau (de Tours) pour amputés, par le Dr Boureau / Type n° 11 : Mains de menuisier
Image : Fig. 1. - Type n° 11. - Main de menuisier pour la manoeuvre de la scie à chantourner, le rabot, la varlope, etc.
94 Mains de travail du Dr Boureau (de Tours) pour amputés, par le Dr Boureau. Type n° 11 : Mains de menuisier / Type n° 12 : Mains de bijoutier, d'opticien, de mécanicien-dentiste
Image : Fig. 2. - Type n° 11. - Main de menuisier pour le ciseau, etc. / Fig. 3. - Main de menuisier pour clouer / Fig. 4. - Type n° 12. - Main de bijoutier, d'opticien, de mécanicien, dentiste
95 Mains de travail du Dr Boureau (de Tours) pour amputés, par le Dr Boureau. Type n° 12 : Mains de bijoutier, d'opticien, de mécanicien-dentiste / Type n° 13 : Main de prêtre
Image : Fig. 5. - A, A, ressorts maintenant les objets saisis ; P, pouce mobile articulé sur un axe en B, avec traction sur le point C ; F, commande reliée au levier du coude
101 Une ambulance chirurgicale automobile, par Raoul Monod
Image : Fig. 1. - A, camion de stérilisation ; B, camion de radiographie ; C, camion de pharmacie ; V, voiture de blessés arrivant ; I, tente Tortoise ; 2, 2, salles d'opérations ; 3, salle de stérilisation ; 4, tentes-bivouac ; p, passage couvert ; P, salle de pansements ; H, salles d'hospitalisation ; Ho, salle d'officiers / Fig. 2. - L'intérieur du camion de radiographie
102 Une ambulance chirurgicale automobile, par Raoul Monod
Image : Fig. 3. - La petite salle d'opérations / Fig. 4. - L'autoclave horizontal et les bouilloires
103 Une ambulance chirurgicale automobile, par Raoul Monod
Image : Fig. 5. - La tente de « nettoyage »
104 Une ambulance chirurgicale automobile, par Raoul Monod
Image : Fig. 6. - La tente de « préparation » / Fig. 7. - Vue générale de la formation
105 Une ambulance chirurgicale automobile, par Raoul Monod
Image : Fig. 8. - Une salle de blessés / Fig. 9. - Vue générale de la formation
109 L'amputation de Gritti au point de vue de la prothèse, par E. Mériel
Image : Fig. 1. - Cas I : Opération en février 1900 ; résultat constaté, par la radiographie et publié trois ans après dans mon article des Archives de chirurgie, juillet 1903
110 L'amputation de Gritti au point de vue de la prothèse, par E. Mériel
Image : Fig. 2. - Photographie d'un moignon d'une amputation de Gritti (faite le 29 novembre 1915), prise fin avril 1916, cas VII / Fig. 3. - Radiographie d'une amputation récente de Gritti (cas VIII, 2 mars 1916). État du moignon, os et parties molles deux mois après au moment de l'appareillage
116 Le rôle de la rééducation motrice dans la résection du coude, par le Dr Kouindjy
Image : Fig. 1. - Position du bras à l'horizontale : l'avant-bras ballant forme un angle à peu près droit au début du traitement / Fig. 2. - Radiographie du coude réséqué du soldat R... / Fig. 3. - Flexion de l'avant-bras sur le bras sans engin
117 Le rôle de la rééducation motrice dans la résection du coude, par le Dr Kouindjy
Image : Fig. 4. - Flexion de l'avant-bras avec une haltère d'un kilo / Fig. 5. - Abduction du bras en extension
118 Le rôle de la rééducation motrice dans la résection du coude, par le Dr Kouindjy
Image : Fig. 6. - Type d'ankylose du coude en position vicieuse / Fig. 7. - Type d'ankylose du coude en demi-extension
121 Notre technique actuelle du traitement de la scoliose (suppression du Hamac, passage de feutres, fenêtres, etc.), par le Dr Jacques Calvé. A. - Confection de l'appareil
Image : Fig. 1 Le hamac exerce une force réactionnelle qui repousse en avant la gibbosité et qui agit ainsi dans le sens de la détorsion vertébrale / Fig. 2 Une bande de toile d'une largeur de 10 centimètres et nous la tendons fortement derrière la gibbosité sur le sujet debout. Cette bande est fixée en haut dans une ceinture scapulaire plâtrée, et en bas dans une ceinture pelvienne plâtrée, ceinture que nous faisons à ce moment-là même, en moulant très soigneusement les épaules et le bassin / Fig. 3 Quand le sujet sera couché sur le cadre et soutenu par cette bande, on voit que, immédiatement, il se mettra en cyphose comme dans le hamac, et la portion de bande rétro-gibbeuse déjà très tendue, mais qui allait d'une ceinture à l'autre, en ligne droite, par le plus court chemin, devra maintenant courir le long de la convexité postérieure plus proéminente de la gibbosité. Comme la ceinture pelvienne, fixée par des sous-cuisses ne peut remonter, la bande se tend au maximum et repousse en avant la gibbosité
122 Notre technique actuelle du traitement de la scoliose (suppression du Hamac, passage de feutres, fenêtres, etc.), par le Dr Jacques Calvé. A. - Confection de l'appareil
Image : Fig. 4 En ajoutant une bande fixée sur le côté gauche de la ceinture pelvienne, nous aurons ainsi une bande sur laquelle nous pourrons effectuer une forte traction qui nous permettra d'ouvrir, d'allonger le côté gauche du thorax / Fig. 5 et Fig. 6 Nous nous arrangerons de façon à supprimer les bandes à trois chefs et à les remplacer par deux bandes simples correspondant aux seuls chefs utiles (A et B pour les épaules, C et D pour le bassin). Ces bandes peuvent être incorporées dans les ceintures plâtrées, scapulaire et pelvienne, qui nous ont servi à fixer la bande de toile-hamac tendue derrière la gibbosité
125 Notre technique actuelle du traitement de la scoliose (suppression du Hamac, passage de feutres, fenêtres, etc.), par le Dr Jacques Calvé. B. - Pendant le port de l'appareil
Image : Fig. 8 Repousser la gibbosité par les feutres / Fig. 9 Il ne faut jamais, dans une scoliose quelconque, surtout dans une scoliose un peu forte, placer les feutres sur la face externe d la gibbosité / Fig. 10 Ce qu'il faut faire.- Quand on traite une scoliose forte, il faut : au début, placer les feutres en arrière et en dedans de la gibbosité, d'une part ; il faut, d'autre part, placer des feutres en avant de la moitié antérieure et gauche du thorax : l'effet total est une dérotation vertébrale / Fig. 11 Une pince conduit le feutre de la grande fenêtre à la face postérieure du bras droit ; une corde est fixée au coin antéro-inférieur du feutre. Celle-ci est glissée sous le petit pont de plâtre sous-axillaire droit, et une traction assez forte sur cette corde permet d'amener le feutre sous ce pont de plâtre
127 Moignons d'amputation du membre inférieur au point de vue de l'appareillage, par le Dr Judet. I. Amputations du pied / II. Amputations de jambe
Image : Fig. 1. - Amputation de Chopart : moignon défectueux, par bascule en arrière des os du tarse (dessiné d'après nature) / Fig. 2. - Radiographie du moignon représenté / Fig. 3. - Membre artificiel pour amputation de jambe
129 Moignons d'amputation du membre inférieur au point de vue de l'appareillage, par le Dr Judet. II. Amputations de jambe / III. Amputations de cuisse
Image : Fig. 5. - Pilon rigide sans aucune articulation / Fig. 6. - Pilon articulé au niveau de la ceinture et de la hanche, en R et en H
130 Moignons d'amputation du membre inférieur au point de vue de l'appareillage, par le Dr Judet. III. Amputations de cuisse
Image : Fig. 7. - Pilon articulé au genou et à la hanche / Fig. 8. - Pilon américain / Fig. 9. - Jambe artificielle en cuir moulé pour marche à genou rigide (type français)
131 Moignons d'amputation du membre inférieur au point de vue de l'appareillage, par le Dr Judet. III. Amputations de cuisse
Image : Fig. 10. - Jambe artificielle en bois (type américain) / Fig. 11. - Jambe américaine à la fin de l'appui postérieur / Fig. 12. - Jambe américaine en position d'équilibre instable
137 Drainage au goutte à goutte urétéro-vésico-urétral dans les néphrotomies et pyélotomies, par le Dr Maurice Devroye
Image : Fig. 1 L'un de ces drains communiquait avec un irrigateur laissant s'écouler une solution de permanganate de potasse à 1 p.10 000 par gouttes successives, et l'autre servant à ramener le liquide injecté en même temps que les urines dans un vase placé au pied du lit du malade / Fig. 2 Le système de drainage au goutte à goutte, préconisé par Carrel dans sa méthode de traitement des plaies nous avait donné des résultats très appréciables dans toutes les blessures de guerre et c'est pourquoi nous l'avions préconisé pour obtenir dans ce cas un lavage continuel et soigneux du bassinet. Quelle ne fut pas notre surprise le lendemain, en constatant que le permanganatene sortait pas par le drain de retour que nous avions établi, mais par le drain de siphonnage vésical que nous avions laissé dans la vessie infectée
138 Drainage au goutte à goutte urétéro-vésico-urétral dans les néphrotomies et pyélotomies, par le Dr Maurice Devroye
Image : Fig. 3 On suture tous les tissus avoisinants au catgut et la peau aux crins de Florence ou à la soie. Il est bon de laisser pendant deux à trois jours un drain ordinaire dans la plaie opératoire, jusqu'à la loge rénale / Fig. 4 S'il s'agit d'une néphrotomie, on incise le rein jusqu'au bassinet et l'on pousse la sonde de Nélaton préparée jusqu'où il est possible de le faire. On la lie ensuite à la capsule du rein ou aux tissus musculaires avoisinants. Après quoi, on suture le rein par la méthode de néphrorraphie habituelle, et on laisse un draindans la loge rénale / Fig. 5 Il suffit pour cela de posséder la canule spécialement réservée à cet usage par la maison Gentile et une pince à serrement progressif qui règle le débit des gouttes. Tout ce système aura été soigneusement stérilisé et préparé avant l'opération
156 Quelques indications nouvelles sur les appareils auto-extenseurs pour fractures des membres, par le Dr Louis Senlecq / Appareil auto-extenseur pour fracture de cuisse
Image : Fig. 1. - 1. Tige externe montée. 2. Tige antérieure ; pièces séparées. 3. Tige interne / Fig. 2. - Branche interne et son équerre
163 Lésions osseuses non décelables par la radioscopie, par le Dr Bruneau de Laborie
Image : Fig. 2. - Fracture de la malléole externe / Fig. 3. - Fissure de l'acromion / Fig. 4. - Ostéite du premier métatarsien / Fig. 5. - Ostéo-arthrite de l'articulation sterno-claviculaire
177 Le signe de la main en marteau et de la main plantaire dans la paralysie cubitale, par le Dr Hesnard / Observation I
Image : Fig. 2. - Perspective des métacarpiens et comparaison des angles métacarpo-phalangiens dans « la main en marteau » (schématique) / Fig. 3. - Schéma du déséquilibre des muscles moteurs des doigts dans la « main en marteau » / Fig. 4. - « Main en marteau ». Remarquez la saillie palmaire métacarpo-phalangienne, la cambrure dorsale correspondante et l'enroulement de la main en col de cygne / Fig. 5. - « Main plantaire » à droite de la figure, main normale à gauche. On voit distinctement la saillie palmaire caractéristique au niveau des deux derniers doigts, sur la main paralysée. Ce signe, premier degré du précédent, n'est pas très apparent et doit être recherché
178 Le signe de la main en marteau et de la main plantaire dans la paralysie cubitale, par le Dr Hesnard. Observation I / Observation II
Image : Fig. 6. - « Main en marteau » exclusivement limitée à la région cubitale de la main, au niveau du dernier doigt seulement. Paralysie limitée aux derniers interosseux, par lésion latérale du tronc du nerf cubital au bras (syndrome dissocié). Blessé de l'observation II / Fig. 7. - Paralysie cubitale complète avec amyotrophie considérable (de l'adducteur du pouce notamment) sans « main en marteau »
186 Les accidents nerveux déterminés par la déflagration des explosifs, par MM. Gustave Roussy et J. Boisseau / I. - Les faits
Image : Fig. 1. - Mal... Pierre, soldat au ne régiment d'infanterie / Fig. 2. - Bo... Louis, soldat au ne régiment d'infanterie coloniale. Surdi-mutité ; type hystérique, facies ouvert, malade bavard de ses gestes
187 Les accidents nerveux déterminés par la déflagration des explosifs, par MM. Gustave Roussy et J. Boisseau. I. - Les faits / II. - Interprétation des faits
Image : Fig. 3. - Cam... François, soldat au ne régiment d'infanterie. Mutité ; type hystérique / Fig. 4. - Tho... Jean, soldat au ne régiment d'infanterie. Surdi-mutité ; type mental
204 Hypermyotonie ou contracture secondaire dans les paralysies des nerfs périphériques par blessure de guerre, par André Thomas
Image : Fig. 1 et Fig. 2 Lorsqu'on invite le malade à élever ses membres supérieurs perpendiculairement à l'axe du corps, les mains tombant naturellement en pronation, la main malade fait un angle plus ouvert avec l'avant-bras que la main saine, elle est donc moins tombante / Fig. 3 Si, dans la même attitude, les mains sont placées en supination, la face palmaire regardant par conséquent en haut, la main tombe davantage que la main saine, la première fait avec l'avant-bras un angle moins ouvert que la deuxième / Fig. 4 La flexion passive (poussée au maximum) de la main sur l'avant-bras est plus marquée du côté droit, mais la différence entre les deux côtés est moins saisissante que pour la flexion
205 Hypermyotonie ou contracture secondaire dans les paralysies des nerfs périphériques, par blessure de guerre, par André Thomas
Image : Fig. 5 Lorsque la face dorsale de la main est amenée sur le prolongement de la face dorsale de l'avant-bras, les premières phalanges des quatre derniers doigts de la main gauche forment avec les métacarpiens un angles plus ouvert que ceux de la main droite / Fig. 6 et Fig. 7 Dix-huit mois après la blessure, la flexion est surtout marquée pour le médius, elle est à angle aigu pour la deuxième phalange, à peu près à 45 degrés pour la troisième
206 Hypermyotonie ou contracture secondaire dans les paralysies des nerfs périphériques, par blessure de guerre, par André Thomas
Image : Fig. 8 et Fig. 9 Voici un blessé du mois de mai 1915 qui a été atteint d'une paralysie du radial et du médian du côté gauche ; la paralysie du radial a rétrocédé progressivement, la paralysie du médian s'est améliorée, mais au mois de décembre notre attention fut attirée par l'attitude spéciale que prenait l'index, attitude qui s'est progressivement accentuée et dont la mobilisation ou les appareils n'ont pu venir à bout / Fig. 10 Chez un troisième soldat dont le médian a été atteint et se trouve en voie d'amélioration, la contracture atteint tous les faisceaux fléchisseurs des doigts, mais davantage les faisceaux de l'index et du médius
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