Image : Fig. 1. - O, oreillettes, V, ventricule: méthode de suspension. La fréquence du rythme normal est réduite de moitié par des chocs périodiques envoyés aux oreillettes. - E, signal: la ligne descend à la fermeture, remonte à la rupture du courant

Image : Fig. 2. - En A, le rythme dimidié, provoqué artificiellement, continue spontanément. Les chocs d'induction n'ont pas été marqués par le signal, mais par les points blancs. - I, excitation réflexe du pneumogastrique par faradisation de l'intestin / Fig. 3. - En B, la dissociation spontanée qui avait commencé en A (fig. 2) fait place brusquement, au bout de 2'10" au rythme normal. Les deux leviers ne sont plus sur la même ligne: les repères indiquent les points qui se correspondent. - T, secondes

Image : Fig. 4. - Dissociation en rythme V/3A après injection de 1 centigr. De BaC12

Image : Fig. 5. - Transformation du rythme V/2A en rythme V/A. Ligature de Stannius et application directe de BaC12 sur le cœur / Fig. 6. - Transformation spontanée du rythme V/2A en rythme 2A/V

Image : Fig. 7. - Chien de 8 kg. P C.: pression carotidienne. - P. V.: pression intraventriculaire. - V. R.: volume du rein. - Temps en secondes

Image : Fig. 8. - Chien de 6 kg 500 / Fig. 9. - Chien de 8 kg 500. - Injection préalable de 4 ctgr. 5 d'atropine. - Injection de 1 ctgr. de sulfate de spartéine par kg

Image : Fig. 10. - Chien chloralisé. - Section des pneumogastriques. En abscisse, les excitations du splanchnique. - En ordonnée, pression en centimètres de mercure

Image : Fig. 11. - Chienne de 4 kg. - Ablation des surrénales sous chloroforme. Excitation du splanchnique

Image : Fig. 12. - Chien curarisé. - Injection d'extrait de têtes de sangsue

Image : Fig. 13. - Chien curarisé. - Injection de 10 mmgrs de strychnine