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Hippocrate / Mercy, François Christophe Florimond Chevalier de (éd.).

Nouvelle traduction des aphorismes d'Hippocrate, et commentaires spécialement applicables à la médecine dite clinique, avec le traité des humeurs, d'Hippocrate -- traduit du grec par M. le Chevalier de Mercy, tome I er

Paris : Vigor Renaudière, 1821.

Cote : 33271x01.

erreur de reliure : les pages xvii à xxiv de l'introduction sont placées en tête

Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)

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I Avertissement

V Observations préliminaires sur la quatrième section des Aphorismes

XVIII Prolégomènes. Traité Des humeurs, d'Hippocrate, traduit du grec

XLI Plan général des Commentaires sur les huit sections des Aphorismes d'Hippocrate

1 Commentaires sur les Aphorismes d'Hippocrate. Section Quatrième. Aphorisme premier. Purgez les femmes grosses, s'il y a turgescence depuis le quatrième mois jusqu'au septième; plus rarement à cette dernière &poque: craignez pour le foetus plus petit ou plus grand

6 Aphorisme II. En toute purgation, il est utile d'évacuer les humeurs qui devaient sortir spontanément, et de supprimer celles qui sont contraires

8 Aphorisme III. Si la purgation est telle qu'elle doit être, c'est un bien; elle est alors supportée facilement, sinon avec peine

12 Aphorisme IV. L'été, préférez les vomitifs; l'hiver, les purgatifs

14 Aphorisme V. Les purgations sont pénibles depuis le lever de la canicule, jusqu'à son déclin

20 Aphorisme VI. Purgez, par les voies, supérieures, les sujets maigres qui vomissent facilement, excepté en été

23 Aphorisme VII. Purgez, par les voies inférieures, les sujets replets, difficilement émus par les vomitifs, excepté en hiver

28 Aphorisme VIII. Evitez de faire vomir les phthisiques

35 Aphorisme IX. Purgez plus fortement les mélancoliques, et opérez par les contraires

42 Aphorisme X. Dans les maladies très aiguës, s'il y a turgescence, purgez le jour même; il est mal alors de temporiser

52 Aphorisme XI. Les tranchées, les douleurs à l'ombilic et aux lombes, qui ne cèdent pas aux purgatifs, ni aux autres moyens, se changent en hydropisie sèche

61 Aphorisme XII. Il est mauvais de faire vomir les lientériques en hiver

72 Aphorisme XIII. Ceux qui sont purgés difficilement par les voies supérieures, doivent, avant de prendre l'ellébore, se préparer et s'humecter par des alimens plus copieux et par le repos

81 Aphorisme XIV. Dès qu'on a bu l'ellébore, il convient: de faire plus d'exercice, de moins dormir et se reposer. En effet, la navigation prouve que l'agitation trouble tout le corps

84 Aphorisme XV. Quand vous voudrez donc rendre l'ellébore plus actif, excitez au mouvement; mais, pour l'adoucir, faites prendre du repos et du sommeil

90 Aphorisme XVI. L'ellébore est dangereux à ceux qui nt les chairs saines; il leur cause des convulsions

99 Aphorisme XVII. Le dégoût sans fièvre, les pincemens à l'orifice supérieur de l'estomac, le vertige ténébreux, l'amertume de la bouche, indiquent le besoin de vomitifs

108 Aphorisme XVIII. Les douleurs au-dessus ou au-dessous du diaphragme, qui exigent l'emploi des évacuans, indiquent, les premières, qu'il faut purger par haut, les secondes par bas

114 Aphorisme XIX. Ceux qui, pendant la purgation, ne sont point altérés, ne cesseront pas d'être purgés, jusqu'à ce qu'ils aient soif

119 Aphorisme XX. Les tranchées sans fièvre, la pesanteur des genoux et les douleurs lombaires, indiquent le besoin des purgatifs

129 Aphorisme XXI. Les déjections noires, ou semblables à du sang noir, et spontanées, avec ou sans fièvre, sont très mauvaises, et le sont d'autant plus, que les couleurs paraissent plus dépravées. Si un purgatif en est la cause, il y a moins de danger, moins encore si les douleurs sont plus variées

137 Aphorisme XXII. Si, au commencement d'une maladie, on rend, par haut ou par bas, de la bile noire, c'est un signe mortel

144 Aphorisme XXIII. Les sujets exténués par des maladies aiguës ou lentes, par des blessures ou autrement, et auxquels il survient des évacuations de bile noire, ou semblables à du sang noir, meurent le jour suivant

152 Aphorisme XXIV. Si la dysenterie commence par l'atrabile, elle est mortelle

164 Aphorisme XXV. Le vomissement de sang, quel qu'il soit, est mauvais; mais de médiocres déjections de sang noir sont favorables

177 Aphorisme XXVI. Si les selles d'un dysentérique entrainent des petits morceaux de chair ou caroncules, la maladie sera mortelle

191 Dysenterie adynamique

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