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RICHET, Charles.
thèse de médecine de Paris n° 69,
1877.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
Adresse permanente :
https://www.biusante.parisdescartes.fr/histmed/medica/cote?TPAR1877x069
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Nombre de réponses : 343
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171
Image : Fig. 1. Les deux premiers groupes d'excitations ne produisent pas d'effet sur le muscle
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Image : Fig. 2. [Interruptions électriques faites au métronomes]
176
Image : Fig. 3. [Les excitations marquées par les signaux électriques produisent un effet musculaire lorsque les signaux sont très rapprochés]
177
Image : Fig. 4. [Excitations croissant selon un mouvement uniformément accéléré]
178
Image : Fig. 5. L'intensité de l'excitation reste invariable, mais la fréquence va en augmentant suivant un mouvement uniformément accéléré
180
Image : Fig. 6. [Signaux électriques répondant alternativement à des courants tantôt très forts, tantôt très faibles]
182
Image : Fig. 7. Courants d'intensité variable allant en augmentant d'intensité du haut au bas de la figure
183
Image : Fig. 8. Il n'y a aucun retard pour la contraction qui répond au courant fort, courbe m ; tandis qu'il y a un très grand retard pour la contraction m' / Forme rythmique du tétanos des muscles de l'écrevisse
186
Image : Fig. 9. [Plusieurs excitations électriques de même fréquence, l'intensité du courant étant invariable : interruptions faites par le métronome]
188
Image : Fig. 10. [Contractions musculaires provoquées par des excitations électriques]
191
Image : Fig. 11. [Interruptions produites par plusieurs courants d'intensité différente]
193
Image : Fig. 12. [Persistante d'une excitation dans les centres nerveux en fonction de l'intensité de cette excitation]
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