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Cote : 5912.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
Nombre de pages : 132
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 [sans numérotation]  Au Lecteur beneuole
 [sans numérotation]  Clarissimo expertissimoque viro, Domino, D. Hermanno Van Der Heyden. Primario Gandauensium Medico, sibi Coaetaneo gratulatur Ioannes Stullius Corteracensium Medicus
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 1  Premier Discours et aduis sur la Diarrhaee bilieuse salêe, atrabiliaire & la dysenterie scauoir flux de ventre douloureux soit qu'il y ait du sang ou point. Des definitions, distinctions, causes de ces flus & l'exclusion des autres. Chapitre I
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 3  Qu'il faut incontinent au premier abord de ces flus se purger, & repurger s'ils s'opiniastrent; & pour ce faire de quels medicamens il se faut seruir; & que tout aussi tost il faut boire grande quantité de clair laict. Chap. II
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 6  De quelle façon on se sert de purges & clair laict au flus inueterés & comment les femmes enceintes & qui ont leurs mois se seruent de mesmes. Chap. III
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 8  Des clysteres ordinaires & extraordinaires, & comment on s'en sert aux grands & petits, & quand on les donne froids encore qu'il y entre du vinaigre. Chap. IIII
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 12  Que comme la dysenterie à temps attaquée est fort bien guerissable, la difficulté croist à l'aduenant de sa durée, & de la grandeur des accidens y suruenans. Quelles sont les prognostications des flus. De quelle viande & boisson on se sert en la dysenterie nouuelle & inueterée, & quand l'eau de Spa est tres-conuenable. Chap. V
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 17  Que la saignée n'a que place icy rarement. Quand on se peut seruir des opiates & restrainctifs. Quand on se doibt seruir des confortatifs & lenitifs, & de quels. De la preseruation en la dysenterie populaire. De la dysenterie extraordinairement populaire. Chap. VI
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 25  Second Discours du Trousse-gallant, dict en Latin Cholera morbus. Que sa cause n'est point la qualité manifeste des humeurs peccantes, ou de la viande & boisson, ains la maligne & occulte; & qu'elle est si felonne, qu'aucunes fois en peu d'heures elle destruit le malade entierement; & qu'aussi semblable maligne qualité se trouue en aucunes fiebures & melancolies hypocondriaques; & qu'entre autres euacuations & celle de ce Discours la distinction est facile. Chap. I
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 30  De la description du Laudanum Theophrasti, duquel se fait ceste pillure; de quel poids, quand, & comment elle doibt estre donnée aux grands & petits; & de quoy on se pourroit seruir quand elle n'est recouurable. Chap. II
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 32  Que les purges n'ont pas de place icy, ny les clysteres aussi, ou fort rarement. De quelle boisson & viande on se doibt seruir. Chap. III
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 36  Troisiesme Discours sur la preseruation & curation de la peste signamment à son commencement. La definition, causes, differences, signes & prognostications, de la peste. Par quels moyens s'en peuuent preseruer ceux qui s'enfuyent, & qui demeurent. Comment on nettoye les maisons. Et de quels parfums on se sert. Chap. I
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 44  Quels sont les preseruatifs, leurs descriptions, parmi celle de la conserue sudorifique & curatiue. Du regime du viure. De la boisson & viande en la preseruation. Et de la qualité signalée du vinaigre. Chap. II. Conserue preseruatiue
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 51  Qu'il faut, si tost que les signes de la peste paroissent, se haster à prendre la suscripte conserue sudorifique, & chaud vinaigre, & les reprendre si on les reiette, ou ne font assés suer. Quelles autres substances sudorifiques, iuleps, confections, & poudres cordiales, y ont aussi place. Chap. III
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 56  Que ie n'ordonne point des purges, ny des vomitoires en la peste, & pourquoy. Pour quelle raison ie n'y recommande point la saignée. De quelle façon on se sert aux bosses dictes bubons. Chap. IIII
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 59  Que ie ne recommande point en la peste les purges; ny vomitoires. Qu'il vaut mieulx de n'y ordonner la saignée, que de la laisser mettre en execution imprudemment. De la bosse. Du charbon. Des funestes taches. Et auec une nouuelle preparation de la vipere. Chap. V
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 64  Quatriesme Discours sur les effects signalés & incroyables de l'eau. Comment l'eau froide guerit les extremités du corps engelées. Comment elle a place en defluxions douloureuses; & au contraire ne samble estre mal propre en la paralesie. Comme la frayeur & la cholere guerissent aussi par l'agitation du sang & des esprits la paralesie, contractions des nerfs, la fieure quarte, & autres maladies. Chap. I
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 68  Que l'impetuosité de nos esprits peut aucunement estre comparée auec celle des vents. Qu'à raison de ce que dessus la saignée peut estre admise au bras paralytic. Que par l'eau seule on guerit des grandes playes; mais plus asseurement par celle qui est composée: Comme aussi par celle-cy on guerit des ulceres extraordinairement rebelles & fistuleuses. Que l'eau froide appliquée sur une mesme partie, en guerist aussi bien les maladies froides, que chaudes. Chap. II
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 71  Que l'eau ne nous fait moins de bien prise au dedans, qu'appliquée au dehors. Qu'il n'y a rien qui apporte tant de secours à la goutte. Comment on s'en sert pour s'en preseruer & guerir. Qu'elle n'est point autrepart tant seulement conuenable en intemperature chaude, mais aussi aucunesfois en la crudité mesme de l'estomach. Chap. III
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 76  Cinquiesme Discours de la goutte. Que sa cause n'est pas une defluxion descoulante de la teste, ou autre humeur froide; ains salée & picquante. Qu'elle est poussée vers les ioinctures, par ou la nourriture y arriue. Que les raisons de ceste opinion sont confirmés par les principaux remedes de la goutte qui sont la prise de l'eau froide, & saignée à la partie affectée. Chap. I
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 82  De la preseruation. Chap. II
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 84  De la curation. Chap. III
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 86  Sixiesme Discours, sur les fieures tierce, & quarte, & leurs accidens suruenans: causés de l'infection des poldres, & terres auoisinées de la mer. Comment ceste infection s'engendre, & en quel temps: sa cause: comment on s'en doibt preseruer: quelles maladies, accidens, & dangers en procedent. Chap. I
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 91  De la fieure tierce. Qu'elle n'est pas pure icy, ains bastarde. Le regime de viure. La curation. Chap. II
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 99  De la fieure quarte. Qu'elle est icy bastarde: le regime de viure. La curation. Chap. III
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 107  D'une autre infection endemique assés semblable à celle des poldres, mais plus ample: Que les iugement pris par l'inspection de l'urine de ces maladies, & d'autres aussi, est trop incertain pour s'y fier, nommement de ces urines qui sont transportées; & que pource il faut qu'elles soient accompagnées de suffisant rapport de l'entiere constitution du patient. Que nullement on y peut s'apperceuoir des signes de la sorcellerie. Chap. IIII
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 [sans numérotation]  Approbatio
 [sans numérotation]  Les principales fautes commises en l'impression par position & omission