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Spallanzani, Lazzaro.
Pavie, Paris, J. Duplain, 1787.
Cote : 33728.
Exemplaire numérisé : BIU Santé (Paris)
Nombre de pages : 488
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 I  Introduction du traducteur
 II  
 III  
 IV  
 V  
 VI  
 VII  
 VIII  
 IX  
 X  
 XI  Découvertes microscopiques faites dans le règne minéral
 XII  
 XIII  
 XIV  
 XV  
 XVI  
 XVII  Découvertes microscopiques faites dans le règne végétal
 XVIII  
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 XXII  
 XXIII  
 XXIV  
 XXV  
 XXVI  
 XXVII  Découvertes microscopiques faites dans le règne animal
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 XLVII  Influence des découvertes microscopiques sur la perfection de l'esprit humain
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 CII  Hypothèses. Sur les rapports généraux des êtres microscopiques avec l'ensemble de l'Univers
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 CXX  Avis sur cette traduction
 CXXI  Introduction de l'auteur
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 1  Première partie. Chapitre premier. I- Exposition des nouvelles idées de M. De Needham sur le système de la génération. II- Singularité de ces idées. III- Deux objections faites à l'auteur par M. De Needham sur une de ses expériences faites par le moyen du feu
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 14  Chapitre II. I- Examen de la première objection de M. De Needham relative à l'expérience faite par le moyen du feu. II- Précautions employées pour faire sûrement cet examen. III- L'ébullition des semences végétales nuit-elle à la naissance des animalcules dans les vases ouverts ? IV- Durée plus ou moins longue de cette ébullition. V- Les animalcules continuent-ils à naître dans les infusions, dont les graines ont été plus ou moins grillées, ou exposées à l'ardeur des braises, ou même à la terrible flamme d'un réverbère ? VI- fausseté de la première objection. VII- La force végétatrice imaginée par M. de Needham est tout-à-fait chimérique
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 29  Chapitre III. I- examen de la seconde objection de M. De Needham, relativement aux expériences du feu. II- Circonspection employée pour faire cet examen. III- Faits qui prouvent la fausseté de cette seconde objection. IV- Les animalcules d'un dernier ordre naissent dans les infusions scellées hermétiquement, lorsqu'elles ont été bouillies. V- Les animalcules d'ordres supérieurs ne naissent dans les infusion scellées hermétiquement, que lorsqu'elles ont éprouvé une chaleur beaucoup plus petite que celle de l'eau bouillante. VI- Les animalcules des ordres supérieurs sont tués par le même degré de chaleur que ceux du dernier ordre. VII- Les animalcules sont produits par des germes. VIII- Si quelques espèces de ces germes peuvent résister à la chaleur de l'eau bouillante. IX- Tentatives proposées pour éclaircir ce sujet
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 53  Chapitre IV. I- Les oeufs et les animaux, les graines et leurs plantes sont soumis à divers degrés de chaleur. II- A quel degré de chaleur les oeufs et les graines perdent la faculté d'éclore. III- A quel degré de chaleur les animaux et les plantes périssent. IV- Différences remarquables dans les résultats. V- Conjectures sur ces différences. VI- Raisonnement fondé sur un fait pour établir que les germes des animalcules peuvent facilement résister à l'action de l'eau bouillante. VII- Il est bien important de faire de nouvelles expériences sur les animalcules
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 76  Chapitre V. I- Les animalcules des infusions et leurs germes sont soumis à divers degrés de froid. II- Différences considérables observées dans les degrés de froid qui ôtent la vie aux différentes espèces d'animalcules. III- espèces singulières qui naissent et se multiplient, malgré le froid de la glace qu'on leur fait éprouver. IV- Accidents qui arrivent aux animalcules, pendant que les infusions où ils se trouvent se gèlent. V- Les froids les plus aigus ne font aucun mal aux germes des animalcules. VI- Rapports entre les animalcules et les insectes, de même qu'entre les principes générateurs des uns et des autres relativement aux effets du froid, pour les tuer ou leur laisser la vie. VII- Pourquoi ces principes générateurs résistent mieux aux impressions du froid que les animaux qu'ils produisent. VIII- Réflexion sur cette espèce d'animalcules qui naissent quoiqu'ils éprouvent le froid de la glace
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 91  Chapitre VI. I- On examine plus en grand et d'une manière plus détaillée les effets de la chaleur et du froid sur les animaux. II- recherches sur la chaleur et le froid que les hommes peuvent supporter. III- Erreur de Boerhaave sur les degrés de chaleur et de froid qu'il croyait fatals à l'homme. IV- L'homme diffère des autres animaux par sa faculté de vivre et de multiplier dans tous les climats. V- Observations sur la chaleur et le froid qu'éprouvent les quadrupèdes, les oiseaux, les poissons, les reptiles et les insectes. VI- Un sommeil léthargique s'empare en hiver de plusieurs espèces d'animaux. VII- Examen de la question fameuse, si nos hirondelles s'engourdissent pendant l'hiver. VIII- tentative de M. de Buffon et de l'Auteur pour la résoudre. IX- Opinion de M. de Buffon sur la cause immédiate de l'engourdissement de plusieurs animaux par le froid, avec les preuves de sa fausseté. X- Recherches de l'auteur et de la découverte de la cause immédiate de ce phénomène. XI- Diversité dans le degré du froid nécessaire pour l'engourdissement de divers animaux. XII- Cause de la mort des hommes et des animaux tués par le froid, suivant les physiologistes. XIII- Cette cause ne peut agir sur une classe d'animaux. XIV- Autre cause adoptée par l'auteur pour cette classe
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 120  Chapitre VII. I- Les animalcules soumis aux impressions de diverses odeurs, de diverses liqueurs, de l'électricité et à celle du vuide. II- Effets produits sur eux par l'odeur du camphre et de l'huile de térébenthine, par la fumée du tabac et du soufre. III- Accidents qu'ils éprouvent quand on les mets dans des liqueurs huileuses, spiritueuses et salines. IV- Phénomène singulier observé dans l'urine. V- Expériences électriques de M. Pierre Moscati. VI- Lettres de Mrs Bonnet de Saussure touchant les effets produits par l'électricité sur les animalcules. VII- Expériences de l'auteur sur ce sujet. VIII- Lettre de M. Pierre Moscati. IX- Diversité des effets produits sur les animalcules par le vuide auquel on les avait exposés. X- analogie entre nos animalcules et les animaux communs. XI- Y a-t-il des animaux qui puissent vivre sans le secours de l'air ?
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 144  Chapitre VIII. I- Nouvel examen des arguments de M. De Needham sur l'origine des animalcules. II- Deux moyens propres à faire voir, suivant les idées de M. de Needham, la métamorphose des substances végétales en animalcules. III- Ces deux moyens employés par l'auteur et trouvés insuffisants pour cette métamorphose. IV- Equivoque de M. De Needham et son origine. V- Insuffisance des autres arguments pour prouver cette métamorphose
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 166  Chapitre IX. I- Manières singulières de se multiplier qu'ont plusieurs espèces d'animalcules. II- Phénomène propre à faire croire que les animalcules s'accouplent. III- Lettres du Père Beccaria sur ce sujet. IV- Découverte de M. de Saussure communiquée à M. Bonnet, qui en a fait part à l'auteur, sur la multiplication de beaucoup d'espèces d'animalcules par une division naturelle de leurs corps. V- L'auteur confirme et étend cette découverte. VI- Multiplication de quelques animalcules par une division transversale. VII- Multiplication de quelques autres animalcules par une division longitudinale. VIII- Moyen pour observer commodément ces divisions. IX- Réfutation d'Ellis qui croyait faussement que ces divisions n'étaient pas des moyens naturels de multiplication. X- Observations et réflexions de l'auteur sur le fameux Volvox de Leeuwenhoek
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 197  Chapitre X. I-Continuation du même sujet. II- Animaux qui représentent un arbrisseau en miniature. III- Phénomène surprenant qu'offrent ces animaux. IV- Leur multiplication s'opère par le moyen d'une division naturelle. V- Origine et accroissement de ces petits anibrisseaux. VI- Ressemblances et dissemblances observées entre ces animaux et les polypes à pennaches. VII- Quelques espèces d'animalcules dont la division commence précisément dans cette partie du corps où elle finit dans les autres. VIII- Manières nouvelles et très extraordinaires qui suivent plusieurs animalcules dans leur multiplication. IX- Prodigieuse multiplication des polypes microscopiques. X- Loi de la nature, qui empêche une trop grande multiplication dans les espèces. XI- Animalcules carnivores. XII- Temps favorable pour observer la division des animalcules
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 216  Chapitre XI. I- Plusieurs espèces d'animalcules sont ovipares. II- Quelques espèces sont vivipares. III- Toutes les espèces dans le sens le plus étroit sont hermaphrodites. IV- Les conséquences générales de ces observations sont défavorables aux systèmes sur la génération de Mrs. Needham et Buffon. V- Réflexions sur les forces plastiques. VI- L'origine des animalcules, qu'on observe dès le commencement dans les infusions, est due à de petits germes qui s'y développent. VII- Les observations rapportées expliquent heureusement quelques phénomènes. VIII- les germes des animalcules qu'on observe dans les infusions viennent surtout de l'Air
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 235  Chapitre XII. I- les animalcules ne sont pas des êtres simplement vitaux, suivant la pensée de M. de Needham ; mais ils ont des marques réelles et caractéristiques d'animalité. II- Valeur et limites de l'analogie appliquée à la progression graduelle des êtres animés. III- Dégradation observée non-seulement dans l'organisation des êtres vivants lorsqu'on parcourt en descendant l'échelle animale, mais encore dans leurs opérations. IV- Il est possible et probable qu'il y ait des êtres dont la vie consiste dans la simple irritabilité de leurs parties. V- Les animalcules ne sont cependant pas de ce nombre, quoiqu'il paraisse y en avoir. VI- Leurs propriétés sont très semblables à celles des autres animaux. VII- Extraits de lettres de M. De Réaumur relatives à ce sujet. VIII- Insuffisance d'une objection de M. De Needham contre l'animalité de ces êtres microscopiques. IX- Comment les animalcules peuvent produire par une division naturelle des animalcules qui soient proprement tels
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 256  Deux lettres ou dissertations de M. Bonnet de Genève, à l'Auteur, relativement aux animalcules. Argument
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 336  Lettre seconde
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 345  Observations et expériences sur les petits vers spermatiques de l'homme et des animaux. Introduction
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 350  Lettre de M. Bonnet écrite à l'auteur
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