À Charles Spon, le 1er janvier 1665, note 1.
Note [1]

Sénèque le jeune, Consolatio ad Helviam [Consolation à Helvie], chapitre i, § 2 :

Nam in morbis quoque nihil est perniciosus quam immatura medicina.

[Car dans les maladies aussi, rien n’est plus dangereux que les remèdes précipités].

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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 1er janvier 1665, note 1.

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(Consulté le 28/04/2024)

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