À Charles Spon, le 9 avril 1658
Note [15]
« Rare félicité des temps où il était permis de penser ce que tu voulais et de dire ce que tu pensais » (Tacite, Histoires, livre i, chapitre i) parlant du règne de Nerva et de l’empire de Trajan.
V. note [22], lettre 405, pour Berthe au Grand Pied, qui suit.