Autres écrits : Ana de Guy Patin :
Borboniana 10 manuscrit
Note [18]
V. notes :
mot du guet : « parole qui sert de signal pour discerner l’ami de l’ennemi. Il se donne par le commandant aux officiers, ce qui empêche les surprises des ennemis, les communications des traîtres et des espions ; on change tous les soirs le mot du guet » (Furetière).