À Charles Spon, le 9 avril 1655
Note [28]
« le versificateur au nez court » ; parum nasutus est ici à prendre au sens propre (être pourvu d’un nez court, camus) et au sens figuré (avoir peu de flair).
V. notes [12], lettre 190, pour le surnom de petit camus que Guy Patin donnait à Jacques Thévart, et [11], lettre 342, pour le libelle de François Blondel intitulé In Iacobi Thevart, medici exorthodoxi et parum nasuti versificatoris, Παραινεσιν carmen [Poème contre le Conseil de Jacques Thévart, médecin ci-devant orthodoxe et versificateur au nez court], signé Philalethes F. Blondel, Alethophanis Tribulis canebat 3 non. april. 1655 [F. Blondel le philalèthe (ami de la vérité) chantait sur les chausse-trapes d’Aléthophane (Flambeau de la vérité) le 27 avril 1655].
Vers la même époque, Thévart a publié trois courtes pièces en vers latin intitulées :