À Claude II Belin, le 4 janvier 1633
Note [3]
« pour parler comme Eunape de Sardes, un musée vivant et une bibliothèque qui respire, tout emplie par la famille complète des sciences. » {a}
- Eunape de Sardes (v. note [56] du Patiniana I‑4), Vies des Philosophes et des sophistes (traduction de Stéphane de Rouville, 1889), chapitre iii, à propos de Longin (v. note [2], lettre 756) :
« Longin, à cette époque, était une sorte de bibliothèque vivante et de musée ambulant, et l’on s’en remettait à lui du soin de juger les Anciens. »