« ce sont en effet des vauriens sans aucun aveu et des grippe-sous sans nulle vergogne, de misérables ardélions {a} faiseurs de sirops {b} et de julep. » {c}
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 13 octobre 1665, note 3.