Note [4]
Maladie contagieuse éruptive accompagnée d’atteintes viscérales diverses et parfois mortelles (pneumonie), la rougeole (morbilli, v. note [2], lettre 153) était alors tenue pour un empoisonnement (ou fermentation) particulier (ici bilieux) du sang ; la saignée en était donc le traitement logique. Le roi fut aussi frappé par cette maladie à la même époque (v. note [6], lettre 751).