« qu’on appelle pilules de Francfort, que je crois n’être autre chose que l’aloès nourri et trempé dans l’eau de violettes pendant quelques mois » : v. note [24], lettre 332.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 3 décembre 1658, note 43.