Forme la plus grave de la maladie, les gouttes arrêtées étaient la même chose que la goutte supprimée (v. note [30], lettre 99).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 2 août 1652, note 46.