À Claude II Belin, le 1er juillet 1641
Note [8]
« Puissent les dieux nous ménager des jours meilleurs ! » (v. note [5], lettre 33).
V. note [8], lettre 55, pour la prise d’Aire. Frédéric-Maurice, duc de Bouillon (v. note [8], lettre 66), avait fait de Sedan un foyer de conspiration contre le gouvernement de Richelieu et le refuge des grands personnages mécontents. À ce moment, se trouvaient à Sedan auprès de lui un prince du sang, Louis de Bourbon, comte de Soissons, et l’archevêque de Reims, Henri de Lorraine, devenu récemment, par la mort de son père, le chef de la Maison de Guise. Tous trois, encouragés par la cour d’Espagne, préparaient la guerre civile (Triaire).