À Charles Spon, le 13 juin 1644
Note [17]
Guy Patin en dit ici fort peu, mais on peut conjecturer que, durant sa jeunesse, le bon souvenir de son grand-oncle, Jean, mort en 1605, et de son père, François i, mort en 1633, lui aient ouvert certaines portes dans le monde juridique de Paris : en particulier celles de la famille de Thou, et des frères Pierre et Jacques Dupuy (v. note [5], lettre 181), qui en étaient cousins.