À Nicolas Belin, le 5 juin 1649
Note [9]
« pour le libérer d’un hôte si importun ». Au début de 1649 (v. note [3], lettre 167), Claude ii Belin, père de Nicolas, avait été frappé d’apoplexie (attaque cérébrale) qui l’avait rendu hémiplégique (paralysé d’une moitié du corps) ; on ne voit pas précisément de quel hôte (hospes) Guy Patin voulait ici parler.