À Charles Spon, le 7 juin 1649
Note [5]
« aux côtés de mes très doux parents et de ceux qui me sont les plus chers, au rang desquels vous détenez la première place, et dont vous conduisez la troupe. »
Son cabinet, ou bureau particulier, était la retraite favorite de Guy Patin : v. note [47] du Faux Patiniana II‑1.