À Charles Spon, le 18 juin 1649
Note [55]
« mais pour cela, nous avons besoin d’être dans des temps plus doux et plus paisibles. »
Guy Patin est revenu sur cette affaire, qui lui tenait fort à cœur, dans sa lettre à Johannes Antonides Vander Linden du 23 juillet 1655 (v. sa note [4]).