V. notes [39] et [43], lettre 192, pour le « diable féminin » du comte d’Alais (son épouse, Marie-Henriette de La Guiche) et pour son acharnement à mater la Fronde provençale malgré l’imminence de la paix.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 20 août 1649, note 4.