À Charles Spon, le 1er mars 1650
Note [16]
« Voilà pour l’achever de peindre, c’est-à-dire, pour achever de le ruiner » (Furetière).
V. note [2], lettre 158, pour la thèse de Charles Guillemeau sur la Méthode d’Hippocrate (Paris, 1648, traduite en français et augmentée de onze observations écrites avec Guy Patin), violente attaque contre les Arabes, les chimistes et les apothicaires que Jean-Baptiste Moreau avait disputée le 2 avril 1648. Ce projet de nouvelle édition n’a, semble-t-il, pas abouti (v. note [7] des 11 observations de Guy Patin et Charles Guillemeau sur les us et abus des apothicaires).