Note [2] | |
V. note [13], lettre 151, pour la thèse cardinale sur la « Méthode hippocratique pour remédier », contre les Arabes, les chimistes et les pharmaciens, que Charles Guillemeau avait écrite et présidée le 2 avril 1648. On achevait d’en imprimer l’édition française richement augmentée : Question cardinale à disputer aux Écoles de médecine, jeudi matin, 2nd d’avril, sous la présidence de Me Charles Guillemeau, docteur en médecine de la Faculté de Paris. La Méthode d’Hippocrate est-elle la plus certaine, la plus sûre et la plus excellente de toutes à guérir les maladies ? Avec des observations sur quelques points les plus notables (Paris, Nicolas Boisset, 1648, petit in‑fo de 108 pages). L’ouvrage est composé d’un Avis au lecteur de 14 pages, qui commence ainsi :
L’Avis se conclut sur ces mots :
Suit, développée (39 pages) et traduite en français, la thèse cardinale proprement dite. On y fustige de bon cœur les remèdes chimiques et les drogues des charlatans (page 38‑39) :
Les Observations sur quelques points de cette thèse occupent les 53 dernières pages du livre ; elles sont transcrites et commentées dans notre édition, sous le titre de 11 observations de Guy Patin et Charles Guillemeau sur les abus des apothicaires car, s’il ne les a pas signées, il a clairement affirmé y avoir contribué dans sa lettre du 2 octobre 1657 (v. sa note [5]). Ce livre ne contient ni approbation de la Faculté, ni privilège, ni achevé d’imprimer. |
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Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Hugues I de Salins, le 16 juillet 1648, note 2.
Adresse permanente : https://www.biusante.parisdescartes.fr/patin/?do=pg&let=0158&cln=2 (Consulté le 06/10/2024) |