Note [6]
« si on s’en irrite, on laisse croire qu’elles sont fondées, mais elles se fanent si on les dédaigne » : Namque spreta exolescunt ; si irascare, agnita videntur (Tacite, Annales, livre iv, chapitre xxxiv).
V. notes [4], lettre 224, pour l’Apologie royale… de Claude i Saumaise, traduction en français de sa Defensio regia…, [4], lettre 208, pour les Mémoires de Sully, [9], lettre 49, pour ceux de Henri de Rohan, et [24], lettre 220, pour l’Histoire du ministère de Richelieu, par le P. Charles Vialart.