À Charles Spon, le 18 juin 1652
Note [14]
Après avoir rétabli la santé de la reine Christine, l’abbé Bourdelot entreprenait de l’initier aux plaisirs de tous les sens, ce qui ne manquait pas de scandaliser la cour puritaine de Suède. On réclama vite le départ du nouveau favori, mais il ne fut congédié qu’en juin 1653. On peut ici se souvenir que Guy Patin, en 1650, avait été en concurrence avec son collègue Bourdelot pour succéder à Du Rietz dans la place de premier médecin de la reine (v. note [17], lettre 273).