À Charles Spon, le 25 novembre 1653
Note [1]
En reliure, s’utilisaient communément la peau tannée de veau (la plus coûteuse) et celle de mouton (ou de chèvre) qu’on appelait parchemin ou basane (v. note [3], lettre 331).
Le site des Huguenots de France donne la généalogie des Gonzebat (Gonzebach ou Gonsebac), famille lyonnaise du xviie s. ; mais le porteur des livres était marchand à Saint-Gall (Suisse) et non à Lyon, comme on l’apprend au début de la lettre que Guy Patin a écrite à Tobias Baumgartner (médecin du même lieu) le 18 février 1662. Patin a plusieurs fois reparlé de Gonsebac à Charles Spon dans ses lettres ultérieures (jusqu’en 1667).