À Charles Spon, le 6 mars 1654
Note [3]
« Toutes les communautés commencent leur établissement par le bâtiment de la cuisine, c’est-à-dire à avoir un fonds de quoi vivre » (Furetière). La conversion de Samuel Sorbière au catholicisme lui ouvrait la voie à des avantages que son protestantisme lui avait jusqu’alors rendus inaccessibles ; mais pour cela, il lui fallait se refaire une âme en y implantant de nouvelles croyances, et notamment celle du purgatoire.