À Charles Spon, le 21 septembre 1655

Note [18]

« Malheurs à ceux qui sont vaincus [v. note [24], lettre 360] par la longueur de leur maladie, liée à son excessive crudité. »

La maladie classique (hippocratique) se déroulait en trois temps, crudité, coction et crise ; le prolongement de la crudité annonçait une issue néfaste, car il traduisait le fait que le corps se défendait mal contre la maladie.


Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. – À Charles Spon, le 21 septembre 1655, note 18.

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(Consulté le 03/05/2024)

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