À André Falconet, le 25 septembre 1655
Note [5]
« et bénie soit la race des justes. »
L’intérêt méticuleux que Guy Patin portait à la descendance de Jean Fernel atteste de l’admiration sans borne qu’il vouait au grand médecin français du xvie s. Il allait revenir sur le sujet : v. note [5], lettre 431. Du mariage de Jean Fernel avec Madeleine Tournebulle (ou Tournebue, v. note [29] du Faux Patiniana II‑3), en 1531, étaient nées les deux filles dont il est ici question : Marie l’aînée, et Madeleine.