À Charles Spon, le 16 novembre 1655
Note [35]
« symptômes qui, croit-on, le feront passer sur le registre de la déesse Libitine [v. supra note [23]] » ; l’expression est imitée de Suétone (Vie de Néron, chapitre xxxix) : Pestilentia unius autumni, quo triginta funerum milia in rationem Libitinæ venerunt [En un seul automne, la peste inscrivit trente mille convois funèbres sur les registres de la Libitine].
V. notes [13], lettre 398, pour la mort du cardinal Francesco Adriano Ceva, et [17], lettre 420, pour celle du prince Thomas.