« La censure acquitte les corbeaux, mais condamne les colombes » (Juvénal, Satire ii, vers 63).
Guy Patin a recouru sept fois à cette citation sans ses lettres (v. note [45] du Faux Patiniana II‑1).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 21 janvier 1656, note 25.