À Charles Spon, le 2 juin 1657
Note [a]
Du Four (édition princeps, 1683), no lxvii (pages 215‑219) et Bulderen, no cxv (tome i, pages 294‑297), à Charles Spon ; Reveillé-Parise, no ccccli (tome iii, pages 76‑78), à André Falconet.
Tout incite à penser qu’il s’agit d’une lettre forgée à partir de fragments d’autres lettres, comme en atteste la fin donnée par Reveillé-Parise, que j’ai jugé préférable de supprimer, car elle répète deux passages de celle du 13 avril 1657 à Spon (477) : sur la mort du roi de Portugal et les boules de neige de l’abbé Jean Mulot.
Le destinataire en était très probablement Spon car la lettre de Falconet à Guy Patin, datée du 17 juillet 1657, commence par ces mots : « Il y a si lontemps que je n’ai point reçu de vos nouvelles que j’ai peur que vous ne m’ayez oublié. »