Guy Patin évoquait le sort des quatre enfants de Jean ii Riolan (v. note [34], lettre 207) :
Philippe, abbé de Flavigny en Bourgogne ;
Henri, l’avocat « débauché », en procès contre sa famille ;
Marguerite, morte en 1649, dont le veuf, Thomas de Procé, ne parvenait pas à assurer l’éducation de ses enfants ;
Élisabeth, qui vivait en Touraine avec un époux « assez peu avancé » (sans situation bien établie), dont son beau-père avait présagé la ruine prochaine.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 8 juin 1657, note 9.