À Charles Spon, le 17 juillet 1657
Note [33]
« et en effet, cette édition-là n’est pas pour notre temps ; en attendant, puissions-nous tenir nos âmes dans la persévérance {a} jusqu’à ce que l’injustice cesse de régner. » {b}
- Évangile de Luc, v. note [3], lettre 185.
- Psaumes (57:2) :
Miserere mei, Deus, miserere mei, quoniam in te confidit anima mea. Et in umbra alarum tuarum sperabo, donec transeat iniquitas.[Pitié pour moi, mon Dieu, pitié pour moi ! parce que mon âme met sa confiance en toi. Et à l’ombre de tes ailes, j’attendrai jusqu’à ce que cesse l’injustice].