« Ô misérable France, où les ventres des magistrats se gavent du sang des misérables gens ! » (v. note [29], lettre 606).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 16 octobre 1657, note 34.