À Hugues II de Salins, le 29 octobre 1658
Note [9]
« Les médicaments âcres sont enflammés et malfaisants [κακεργα pour κακεργατα], tout emplis d’une malignité qui n’est pas supposée, mais certaine. » V. note [15], lettre 15, pour la Pharmacopée de Brice Bauderon (Lyon, 1588, pour la première de nombreuses éditions).