« “ c’est que les gens de bien sont rares ” [Juvénal, v. note [6], lettre de Charles Spon, le 11 septembre 1657], la perte des mauvais est sans conséquence. »
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 13 mai 1659, note 17.