À André Falconet, le 17 mai 1661
Note [10]
« Je salue notre cher Spon, et demande qu’il nous apporte à tous deux son appui dans la présente affaire et que nous nous tirions d’une si grande difficulté : nous plaçons en effet beaucoup d’espérance dans votre affection pour nous et dans la sienne. »
Les trafics plus ou moins licites de livres auxquels s’adonnèrent Guy Patin puis son fils Charles leur valurent maints ennuis, dont les plus graves sont détaillés dans les Déboires de Carolus.