Ce vibrant et sincère éloge du P. Théophile Raynaud était écrit un an après sa mort, survenue le 31 octobre 1663 (v. note [3], lettre 757).
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, les 13 et 14 octobre 1664, note 1.