À André Falconet, les 21, 23 et 25 décembre 1664
Note [15]
« dans cette honteuse et criminelle affaire ». Guy Patin revenait ici sur une de ses consultations pour la nonciature, au sujet d’une dame romaine (v. note [1], lettre 801). On avait aussi dû prendre l’avis d’Antoine Robert, agrégé du Collège des médecins de Lyon, dont Patin n’appréciait guère les talents. Sa lettre n’en disait pas assez pour qu’on puisse tout y comprendre ; on ne peut qu’y suspecter une obscure affaire d’avortement.