L’Esprit de Guy Patin a médité sur le « mauvais métier que celui de censeur » : v. note [52] du Faux Patiniana II‑1.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À André Falconet, le 20 mars 1665, note 2.