V. note [9], lettre 736, pour François Verny, apothicaire de Montpellier, que Guy Patin avait prématurément cru mort.
Correspondance complète de Guy Patin et autres écrits, édités par Loïc Capron. – Paris : Bibliothèque interuniversitaire de santé, 2018. –
À Charles Spon, le 17 octobre 1667, note 30.