À André Falconet, le 6 mai 1669
Note [4]
V. note [5], lettre 3, pour l’infortune politique de Charles Guillemeau (mort en 1656) au service de la reine mère Marie de Médicis. Il a beaucoup écrit contre les médecins auliques dans son Cani miuro (Paris, 1654), dont j’ai traduit et commenté un long extrait dans les Deux Vies latines de Jean Héroard, premier médecin de Louis xiii (v. leurs notes [20]‑[20]).