À Charles Spon, le 1er février 1672
Note [4]
V. note [39], lettre 222, pour les Espics meurs [Épis mûrs], enseigne de la librairie de Jean Du Bray, rue Saint-Jacques à Paris. La bibliothèque de Guy Patin, son bien le plus adoré, était passée entièrement entre les mains de sa bru, Catherine Barré, veuve de Robert (v. La bibliothèque de Guy Patin et sa dispersion). Tout ouvrage prêté qui était rendu à Patin, comme ses livres d’Erastus, était alors susceptible d’être immédiatement confisqué pour être remis à son abusif, mais légitime propriétaire.