À Johann Caspar I Bauhin, le 10 février 1633
Note [2]
« non seulement par les traits de votre visage, mais aussi par votre naturel d’honnête et savant homme, à tel point qu’on peut dire de vous deux, docte descendance d’un docte père. » V. note [9], lettre 9, pour le vers de Scévole i de Sainte-Marthe à propos des deux Scaliger : Docti parentis docta proles.