À Johannes Antonides Vander Linden, le 9 février 1657
Note [1]
Guy Patin avait en horreur les festivités du carnaval (depuis les Rois, le 6 janvier, jusqu’à l’entrée en carême, v. note [3], lettre 47) ; il y est revenu au cours de sa lettre (v. infra note [20]).