À Johannes Antonides Vander Linden, le 26 octobre 1657
Note [6]
« les lèvres auront ainsi des laitues qui leur ressemblent » : v. note [8], lettre 297, pour cet adage érasmien.
Cette citation est suivie d’un remords de Guy Patin qui a barré la conclusion de sa lettre (mots entre accolades), pour la compléter d’un long passage que l’annotateur du manuscrit a pris pour une nouvelle lettre.
Dans ses lettres françaises de cette période, Patin a parlé de la lithiase urinaire de Mazarin, mais sans parler d’un praticien italien qu’on aurait fait venir à son chevet.