À Christiaen Utenbogard, le 21 novembre 1659
Note [5]
« la thériaque est à mes yeux un poison ».
V. note [2], lettre latine 107, pour les louanges de Ijsbrand van Diemerbroeck sur l’emploi de ce remède dans la peste. La lettre de Guy Patin datée du 16 juin 1665 prouve que les deux hommes se sont réécrit.