À Adolf Vorst, le 16 juillet 1660
Note [8]
V. notes [4], lettre 2, pour les grandes œuvres médicales de Jean Fernel, et [10], lettre 11, pour les commentaires de Louis Duret sur les Prénotions coaques d’Hippocrate (Paris, 1588) et sur les « deux livres des Maladies internes » de Jacques Houllier (Paris, 1572).